avant la variation
Corde 6 | Corde 5 | Corde 4 | Corde 3 | Corde 2 | Corde 1 |
---|---|---|---|---|---|
Apprendre The Man Who Sold The World de David Bowie à la guitare
favoris
Comment jouer The Man Who Sold The World à la guitare ?
Ce riff n'est pas complexe en soit en ce qu'il se construit sur une seule corde, celle de G. Mais il est parfait pour entraîner votre technique de bending et soyez attentif, car le bend doit commencer après avoir fait sonner votre note de A, puis monter d'un 1/2 ton, puis redescendre pour attaquer ensuite la suite. Toutes les notes (3 au totale) doivent bien s'entendre et sonner. Bosser ce bend séparément avant de l'intégrer lentement au métronome, puis sur les playbacks à èlusieurs vitesses.
L'histoire du riff
Le titre de la nouvelle rappelle fortement celui de la nouvelle de science-fiction de l'écrivain Robert Heinlein "L'homme qui vendit la lune" ; livre qu'a justemnet lu David Bowie avant l'écriture de cet album. L'album, "The Man Who Sold The World", justement, est le troisième album de l'artiste auteur compositeur intéprète britanique, David Bowie. Parue en 1970 via Mercury Records, cet album démontre de la complexité magistrale du chanteur. Ses textes sont encore plus profonds et tortueux et les compositions du guitariste Mick Ronson collent à merveille à cet univers passablement instable. Abordant des thématiques sur les sciences occultes, à la schizophrénie ou encore au surhomme nitzschéen - tant de thème puissants - David Bowie l'explique en partie de la manière suivante :
Je crois que je l'ai écrite parce que j'étais à la recherche d'une partie de moi-même. Aujourd'hui, je me sens plus à l'aise avec ma façon de vivre et avec ma santé mentale [rires] et mon état d'esprit et tout ça, j'ai une sorte d'impression d'unité. Pour moi, cette chanson a toujours symbolisé la façon dont on se sent quand on est jeune, quand il y a une partie de soi-même qui n'est pas encore tout à fait en place. Il y a cette période de recherche, ce besoin de découvrir qui on est vraiment.
Merci encore pour tout, Mister Bowie...